Il y a une semaine environ, j'ai reçu un appel de la secrétaire de l'école de l'Horizon, une école secondaire à Le Gardeur. Elle m'a demandé si j'étais disponible pour le lendemain pour faire de la suppléance à son école. Je lui ai dit oui pensant que c'était une école primaire. Par la suite, j'ai bien vu que c'était une école secondaire, je ne pouvais plus reculer et dire non.
En raccrochant, je suis devenue stressée. J'allais vraiment remplacer dans une école secondaire. Je pensais vraiment passer un mauvais quart d'heure ! Alors, j'en ai même pas dormi de la nuit. Le lendemain, je me suis levée quand même encore un peu nerveuse.
Finalement, les jeunes du secondaire ne sont pas si monstrueux que ça ! Il est vrai qu'il y a toujours quelques leaders pour déranger un groupe, mais il suffit de les envoyer au local de retrait pour réussir à avoir le contrôle des autres.
Aussi, ils ont un langage grossier et ils sacrent à tour de bras, mais ils restent toujours encore bébé. J'ai vu des élèves faire une crise pour leur avoir enlevé une balle de ping pong ou d'autres marcher à quatre pattes et j'en passe ! Mon amie Cat m'a raconté que ses élèves du secondaire voulaient jouer à seven up. Vous voyez qu'ils sont encore des enfants !
Donc, je me suis stressée un peu pour rien comme d'habitude, j'ai même retourné à cette école le lendemain.
Des filles qui bloguent pour des filles. Alors, on devrait retrouver des sujets divers allant de la technologie au maquillage, par l'éducation et la mode. Quoi? Un éventail aussi large? Oh oui, because we can! Tout le monde est la bienvenue!
jeudi 30 septembre 2010
jeudi 23 septembre 2010
New York
Alors, avec quelques-unes de mes amies, dont Lo, je suis allée à New York avec Tours Amérique. Notre guide était génial et nous nous sommes bien amusées (j'ai adoré Time Square).
Alors donc, voulant communiquer avec des gens du Québec pour les informer qu'on allait bien, on va voulu texter. Mes amies ont des cellulaires "à la carte" et moi j'ai un contrat avec Bell. Ô surprises quand nous nous sommes rendues comptes que les cellulaires à cartes ne fonctionnent pas du tout quand on se retrouve sur un autre réseau que celui du Québec. Pour ma part, je n'ai eu aucun problème de connexion (j'étais fort contente). Je crois qu'on va bien retenir que les cellulaire à carte ne fonctionne pas partout.
Fort heuresement, notre sympatique guide (salut à toi, Norm!) nous a informé de l'existance de cartes téléphoniques qui, ne coûtant que 5$ (comme les 12 pouces de Subway), nous permettent d'avoir près de 240 minutes d'appels entre États-Unis et Canada. C'était comme magique; j'étais épatée (ouais, ça m'en prends pas gros).
Même si c'est très simple d'utilisation, c'est un peu difficile à comprendre quand on n'a jamais vu ça et qu'il y a très peu d'instructions sur la carte. Il ne suffit que de composer le numéro donné pour la région où l'on se trouve (ex: Manhattan), ensuite on compose le NIP de la carte et pour finalement composer le numéro au Canada (sans faire le 1 avant). Et hop! un appel!
Alors pour tous ceux et celles qui ne le savait pas, j'ai pensé que ça pourrait leur servir :)
Alors donc, voulant communiquer avec des gens du Québec pour les informer qu'on allait bien, on va voulu texter. Mes amies ont des cellulaires "à la carte" et moi j'ai un contrat avec Bell. Ô surprises quand nous nous sommes rendues comptes que les cellulaires à cartes ne fonctionnent pas du tout quand on se retrouve sur un autre réseau que celui du Québec. Pour ma part, je n'ai eu aucun problème de connexion (j'étais fort contente). Je crois qu'on va bien retenir que les cellulaire à carte ne fonctionne pas partout.
Fort heuresement, notre sympatique guide (salut à toi, Norm!) nous a informé de l'existance de cartes téléphoniques qui, ne coûtant que 5$ (comme les 12 pouces de Subway), nous permettent d'avoir près de 240 minutes d'appels entre États-Unis et Canada. C'était comme magique; j'étais épatée (ouais, ça m'en prends pas gros).
Même si c'est très simple d'utilisation, c'est un peu difficile à comprendre quand on n'a jamais vu ça et qu'il y a très peu d'instructions sur la carte. Il ne suffit que de composer le numéro donné pour la région où l'on se trouve (ex: Manhattan), ensuite on compose le NIP de la carte et pour finalement composer le numéro au Canada (sans faire le 1 avant). Et hop! un appel!
Alors pour tous ceux et celles qui ne le savait pas, j'ai pensé que ça pourrait leur servir :)
lundi 20 septembre 2010
Ma vie !
Je me demandais sur quoi bloguer ? Pourquoi pas sur ma vie ?
Alors, je suis née dans une famille de milieu défavorisé d'une mère avec des problèmes de santé mentales. J'ai vécu avec mes parents et mon frère plus jeune jusqu'à l'âge de 10 ans.
Mon père était un bon travaillant qui voulait faire vivre sa famille, donc il travaillait tout le temps. Il était boucher et il a changé souvent d'emploi pour essayer d'avoir un salaire raisonnable. Grâce à lui, nous n'avons jamais manqué de rien, mais nous n'étions pas beaucoup fortuné.
Comme ma mère avait des problèmes de santé mentales, elle avait des épisodes de psychose où elle n'allait vraiment pas bien. Donc, étant l'aîné de la famille et voulant aider mes parents, je me suis occupée très tôt de mon frère et des tâches ménagères. J'étais très mature pour mon âge et mes parents pouvaient me faire confiance.
C'est à l'âge de 10 ans, que ma vie a changé. J'ai été placé en famille d'accueil, car ma mère était de plus en plus malade et mon père avait peur de ne pas être capable de subvenir à nos besoins avec son maigre salaire. Alors, j'ai vécu avec cette famille qui est devenue ma deuxième famille jusqu'à l'âge de 23 ans. Cette famille m'a aimé comme si j'étais leur propre fille ainsi que mon frère. J'ai vécu une belle enfance, malgré tout. Je voyais de temps à autre mon père et ma mère. Dès que j'ai intégré cette famille, ils m'ont demandé quel sport j'aimerais faire. J'ai donc fait du patinage artistique de 10 à 18 ans. Par la suite, j'ai suivi un cours d'entraîneur et j'ai enseigner pendant 5 ans.
Aussi, quand est venu le temps de me choisir une carrière, ils m'ont soutenu dans mon choix. Ces gens m'ont montré comment économiser et comment conciler études et travail. Grâce à eux, j'ai pu aller au cégep et ensuite à l'université.
Me voici devenue bachelière en adaptation scolaire et sociale avec aucune dette devant moi !
Qui aurait cru, un jour, qu'une petite fille comme moi venant d'un milieu défavorisé se rendrait à l'université ! Maintenant, c'est à mon tour à travers mon emploi d'aider les jeunes en difficulté.
Alors, je suis née dans une famille de milieu défavorisé d'une mère avec des problèmes de santé mentales. J'ai vécu avec mes parents et mon frère plus jeune jusqu'à l'âge de 10 ans.
Mon père était un bon travaillant qui voulait faire vivre sa famille, donc il travaillait tout le temps. Il était boucher et il a changé souvent d'emploi pour essayer d'avoir un salaire raisonnable. Grâce à lui, nous n'avons jamais manqué de rien, mais nous n'étions pas beaucoup fortuné.
Comme ma mère avait des problèmes de santé mentales, elle avait des épisodes de psychose où elle n'allait vraiment pas bien. Donc, étant l'aîné de la famille et voulant aider mes parents, je me suis occupée très tôt de mon frère et des tâches ménagères. J'étais très mature pour mon âge et mes parents pouvaient me faire confiance.
C'est à l'âge de 10 ans, que ma vie a changé. J'ai été placé en famille d'accueil, car ma mère était de plus en plus malade et mon père avait peur de ne pas être capable de subvenir à nos besoins avec son maigre salaire. Alors, j'ai vécu avec cette famille qui est devenue ma deuxième famille jusqu'à l'âge de 23 ans. Cette famille m'a aimé comme si j'étais leur propre fille ainsi que mon frère. J'ai vécu une belle enfance, malgré tout. Je voyais de temps à autre mon père et ma mère. Dès que j'ai intégré cette famille, ils m'ont demandé quel sport j'aimerais faire. J'ai donc fait du patinage artistique de 10 à 18 ans. Par la suite, j'ai suivi un cours d'entraîneur et j'ai enseigner pendant 5 ans.
Aussi, quand est venu le temps de me choisir une carrière, ils m'ont soutenu dans mon choix. Ces gens m'ont montré comment économiser et comment conciler études et travail. Grâce à eux, j'ai pu aller au cégep et ensuite à l'université.
Me voici devenue bachelière en adaptation scolaire et sociale avec aucune dette devant moi !
Qui aurait cru, un jour, qu'une petite fille comme moi venant d'un milieu défavorisé se rendrait à l'université ! Maintenant, c'est à mon tour à travers mon emploi d'aider les jeunes en difficulté.
dimanche 19 septembre 2010
Moi, sage?
«Il n'y a de sage que celui qui est heureux» -Saint-Augustin, IVe siècle.
Cette citation m'a beaucoup intéressé: suis-je heureuse? Beaucoup de gens se plaignent, se disant malheureux. Je crois pouvoir affirmer que je suis heureuse. Non, je n'ai pas tout ce que je souhaiterais avoir, mais si je prend le temps de réfléchir; je ne suis pas malade, j'aime ma famille et mes amis, j'ai un emploi (et même deux lol). Alors, oui, je suis heureuse.
Suis-je sage? Alors là, c'est toute une autre question. Si j'interprète bien la citation, le niveau de maturité requis pour se rendre compte qu'on est heureux(se) nous rendrait donc sage? Pourquoi pas?
Cette citation m'a beaucoup intéressé: suis-je heureuse? Beaucoup de gens se plaignent, se disant malheureux. Je crois pouvoir affirmer que je suis heureuse. Non, je n'ai pas tout ce que je souhaiterais avoir, mais si je prend le temps de réfléchir; je ne suis pas malade, j'aime ma famille et mes amis, j'ai un emploi (et même deux lol). Alors, oui, je suis heureuse.
Suis-je sage? Alors là, c'est toute une autre question. Si j'interprète bien la citation, le niveau de maturité requis pour se rendre compte qu'on est heureux(se) nous rendrait donc sage? Pourquoi pas?
vendredi 17 septembre 2010
Deux nouvelles blogueuses
Donc Manue et moi accueuillons deux nouvelles blogueuses: Lo et Super E! Si vous voulez en apprendre plus, visitez la section "Blogueuses invitées"! :)
Me voici, moi, Lo!
Dans mon prochain message, je vais vous parler de ma vie d'enfance à ma vie d'adulte.
Un témoignage qui pourrait encourager des jeunes qui vivent la même chose que j'ai vécue.
Un témoignage qui pourrait encourager des jeunes qui vivent la même chose que j'ai vécue.
Gmail: tu me surprendras toujours
J'ai un compte gmail depuis... belle lurette et je n'ai jamais été insatisfaite du service. Il y a quelques semaines, mon frère a déménagé à deux ou trois cent kilomètre de la maison familiale. Comme nous n'avons pas un "package" d'appels interurbain, mon frère nous a montré un nouveau service offert par gmail qui fonctionne avec Google Voice. On peut donc appeler d'un ordinateur à un téléphone résidentiel ou cellulaire, sans aucun frais.
Vous allez me dire, mais Skype n'offre-t-il pas déjà un service du genre? Eh bien oui, et ça fait longtemps. Cependant, ce service n'est pas gratuit. Je me rappelle, à ses débuts, quand Skype était inconnu du grand public et des vedettes (telles que Oprah Winfrey), le service d'appel d'ordinateur à téléphone était gratuit. Maintenant, on doit payer pour avoir ce genre de service.
Avec Google Voice, à partir du chat dans la fenêtre de navigation de l'utilisateur, on peut placer un appel à partir de notre ordinateur, et ce, gratuitement. Le hic, c'est qu'il faut mettre notre gmail en anglais, car la version est encore au beta. Je crois personnellement que ça vaut la peine de changer pour mettre le tout en anglais et bénéficier d'un service d'appel tel que celui-ci. N'est-ce pas merveilleux?
Vous allez me dire, mais Skype n'offre-t-il pas déjà un service du genre? Eh bien oui, et ça fait longtemps. Cependant, ce service n'est pas gratuit. Je me rappelle, à ses débuts, quand Skype était inconnu du grand public et des vedettes (telles que Oprah Winfrey), le service d'appel d'ordinateur à téléphone était gratuit. Maintenant, on doit payer pour avoir ce genre de service.
Avec Google Voice, à partir du chat dans la fenêtre de navigation de l'utilisateur, on peut placer un appel à partir de notre ordinateur, et ce, gratuitement. Le hic, c'est qu'il faut mettre notre gmail en anglais, car la version est encore au beta. Je crois personnellement que ça vaut la peine de changer pour mettre le tout en anglais et bénéficier d'un service d'appel tel que celui-ci. N'est-ce pas merveilleux?
mercredi 15 septembre 2010
La génération Y
Donc, je parcourais le site de Sympatico et je me suis arrêté sur un article qui était redirigé du site Workopolis. Ça parlait des enfants des baby-boomers, la génération Y. Voici l'article en question: ici.
Alors, je me met à lire et ça me fait rire un peu. Pourquoi? Parce que malgré que mes parents fassent parti des derniers nés de la génération X, ils n'ont pas vécu cet "abondance" que les vrai baby-boomers ont eu (en terme d'offres d'emploi et de voyages et tout le tralala). Donc, faisant partie de la génération Y, je ne suis pas de ces jeunes qui se fient à leur parents pour sécurité financière. Je suis économe "par défaut"; j'ai mes comptes épargnes et je n'irai piger dedans que par extrême urgence.
Ce que j'ai trouvé interessant, dans l'article, c'est que je peux l'appliquer à beaucoup de mes amis et ça colle. Dépenser pour dépenser, acheter à la tonne, et cetera. Je ne nierai pas que j'aime aussi dépenser, mais la différence est que je sais QUAND dépenser et en général, plus la dépense est importante, plus longtemps j'y pense.
J'essaie le plus possible de pousser mes amis à modérer leur dépenses en leur faisant réfléchir: est-ce que cet achat est si nécessaire à ta vie? Le plus souvent la réponse est non, pas vraiment.
C'est comme si maintenant, la tendance était à se débarasser de son argent le plus vite possible. Ridicule, non?
Alors, je me met à lire et ça me fait rire un peu. Pourquoi? Parce que malgré que mes parents fassent parti des derniers nés de la génération X, ils n'ont pas vécu cet "abondance" que les vrai baby-boomers ont eu (en terme d'offres d'emploi et de voyages et tout le tralala). Donc, faisant partie de la génération Y, je ne suis pas de ces jeunes qui se fient à leur parents pour sécurité financière. Je suis économe "par défaut"; j'ai mes comptes épargnes et je n'irai piger dedans que par extrême urgence.
Ce que j'ai trouvé interessant, dans l'article, c'est que je peux l'appliquer à beaucoup de mes amis et ça colle. Dépenser pour dépenser, acheter à la tonne, et cetera. Je ne nierai pas que j'aime aussi dépenser, mais la différence est que je sais QUAND dépenser et en général, plus la dépense est importante, plus longtemps j'y pense.
J'essaie le plus possible de pousser mes amis à modérer leur dépenses en leur faisant réfléchir: est-ce que cet achat est si nécessaire à ta vie? Le plus souvent la réponse est non, pas vraiment.
C'est comme si maintenant, la tendance était à se débarasser de son argent le plus vite possible. Ridicule, non?
Un mot de bienvenue?
Y'a pas grand chose à dire, je crois. Si vous avez lu au top de la page, tout est là! Alors bienvenu sur notre blog!
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